"L'île des poupées maléfiques" aux éditions Armada

 

Pour Amy, Fred, Chuck et Cheyenne, ce spring break à destination des plages de Floride s’annonçait sous les meilleurs auspices.


C’était sans compter sur l’attraction maléfique de ce bled paumé au milieu des bayous, près duquel les voitures égarées ont une fâcheuse tendance à tomber en panne.


Un endroit figé dans le temps où, pour leur plus grand malheur, la population ne se limite pas aux alligators, aux moustiques et à une poignée d’habitants sur le déclin…

 

le mot de l'éditeur

Retrouvez avec L’Ïle des poupées maléfiques la novelisation du plus célèbre film de Nick Foster, réalisateur maudit aperçu dans Danse Macabre, précédent roman de Frédéric.

 

 

Deep Harbor, hameau côtier du Massachusetts : ses ruines, ses falaises battues par les embruns, ses bois abandonnés.

 

Bourgade à l’agonie, à jamais marquée par l’horreur d’une nuit d’Halloween qui a vu sa population mystérieusement décimée.

 

Deep Harbor : ses légendes, ses malédictions, sa sorcière, son attrait morbide.

Deep Harbor : 23 habitants qui ne demandent qu’à être oubliés. Mais tout le monde n’est pas de cet avis...

 

Et il n’est jamais bon de réveiller le passé.

l'auteur

 

Depuis sa plus tendre enfance, Frédéric est un garçon peureux. Si, si, quand on dort avec la lumière allumée, c’est qu’on a peur de se faire happer par quelque créature des ténèbres dissimulée dans le placard, ou sous le lit… Très tôt, à l’adolescence, il s’est mis à écrire ses terreurs, sans doute pour les exorciser. Publié depuis une douzaine d’années, il donne désormais libre court à son imagination dans un genre qu’il qualifie lui-même de « teen-movie » littéraire, en hommage à un certain cinéma qui l’a fortement inspiré en parallèle de ses lectures et de ses propres cauchemars.

Photo © Bernard Henninger